C'est parfois dur ce constat que je me fais à moi même en me disant que je ne suis pas fait pour être aimé ou aimer simplement et sans souffrance ...
Bien sur je ne parle pas de cet amour que les amis savent donner avec une certaine retenue, retenue qui fait toute la différences ,car on ne couche pas avec ses amis,même si parfois l'envie se ferait sentir (ou pas du tout ) ,sauf peut être si c'est pour aller vers l'évolution d'un vrai amour , mais là il faut être sure de son coup!
J'ai fais cette erreur par le passé et au final ça a été un fiasco, j'ai perdu mon ami et l'amant qu'il aurait pus être dans mon cœur , par peur de reconnaitre ses sentiments, il a préféré feindre que l'Amour entre nous était possible au delà des nos quelques rapports sexuels au quel j'ai préféré mettre fin assez rapidement...
Je suis heureux de constater que l'amour à long terme existe encore pour quelques de mes amis ou dans mon entourage, mais aujourd’hui je ne crois plus vraiment à la fidélité comme par le passé, surtout chez l'homme, et peut être encore plus chez les homos!
Bien sur il reste la fidélité du cœur , celle que je trouve plus noble que (excusez moi du terme) la fidélité du cul et je dis ça pour avoir souvent été dupé mais bref...
Et pour moi , c'est là que le bas blesse....
Arriver a ouvrir son cœur, ça je pense savoir le faire assez facilement, mais les multiples complexes qui me hantent parfois pourrissent ma réalité et le personnage aux multiples facettes que je peux être, et pourtant au fond je reste moi tout simplement avec toutes mes blessures qui peut être m'empêchent d'évoluer et sont livrées avec trop franchise, qu'elles feraient fuirent le 1er venu qui voudrait être plus qu'un ami, ou bien c'est moi qui ne sais plus accepter l'autre tel qu'il peut être en me disant tout de suite qu'il va me juger négativement ? Je me pose la question!
Je me pose peut être trop de question ...
Mais je suis heureux et je rêve de la même chose, quand j’entends et je vois autour de moi des relations qui survivent au temps qui passe et quand l'un des 2 protagonistes me dit avec une grande lucidité que son compagnon est devenu avec le temps une réel partie de lui même, sa moitié, son frère de cœur , son ami amant et que même si un jour le sexe n'a plus la même saveur qu'au début de leur relation ou n'a plus de place dans leur histoire, l'amour est toujours présent entre eux et que la vie n'aurait plus le même sens sans cet autre qu'il aime tan.
Arriver a vivre ça, a partager ça avec un homme, serait pour moi je pense un grand bonheur, mais pour vivre ça il faut d'abord passer par une préface et plusieurs chapitres que je n'arrive pas a vivre, vu que je suis déjà en train de lire le résumer au dos de la couverture et que j'imagine toujours une fin désastreuse avant même d'avoir ouvert ce livre d'un vrai amour ....
Bon je vais voir si je trouve un bon bouquin a me mettre sous la main :)
Le bordélisateur a encore frappé
Il y a 5 mois
l'amour ça peut nous tomber dessus comme un hémorroïde !
RépondreSupprimerLes chasseurs ne peuvent sans doute pas vivre dans la meme tanière sans regarder de temps a autres le gibier passer et puis sans doute ceux qui restent ensemble sont ils peut être plus dans le registre c'est confortable meme si ce n'est plus vraiement de l'amour avec le temps
RépondreSupprimerJuste etre bien avec quelqu'un et poser sa tête sur son épaule quand le besoin s'en fait sentir...
« La société dans laquelle nous sommes nés repose sur l’égoïsme. Les sociologues nomment cela l’individualisme alors qu’il y a un mot plus simple : nous vivons dans la société de la solitude. »
RépondreSupprimer(Frédéric Beigbeder)
Ce grand bonheur qui nous fait peur
RépondreSupprimerEt qui nous fait tout oublier